Quelle histoire insolite que nous dévoile La Dépêche du Midi ! Celle de Carole et de Mathieu, qui ont vécu leur enfance et leur adolescence à Roubaix, dans le Nord-Pas-de-Calais, qui se sont connus et aimés à 17 ans. A l'époque, ils s'échangeaient de tendres baisers sur un banc public du parc municipal de Roubaix... Séparés par la vie, faisant leur chemin chacun de leur côté, ce n'est que 34 ans plus tard qu'ils se sont retrouvés, sur ce même banc. Et pour leur mariage, le maire de la ville de Roubaix, avec la complicité de l'une des sœurs de Mathieu, leur a fait une surprise de taille !

Ils se retrouvent après presque 35 ans

Entre Carole et Mathieu, c'était loin de n'être qu'une amourette d'adolescents. La preuve, plus de 30 ans après, ils se sont retrouvés via Internet et c'est sur le banc du parc municipal qu'ils ont décidé de se revoir. Et là, c'est à nouveau un coup de foudre. Les fiançailles sont très rapidement programmées et le couple décide de se marier à Montflanquin, commune du Sud-Ouest, où une partie de leur famille réside. Déjà, l'histoire nous attendrissait, mais la suite est encore plus étonnante !

Le banc du parc municipal, symbole de leur amour

Après avoir appris les fiançailles, l'une des sœurs de Mathieu a alors une idée originale. Elle contacte le maire de Roubaix pour lui demander si elle peut acheter le fameux banc public sur lequel les amoureux se bécotaient adolescents. Elle raconte alors cette jolie histoire. Et là, coup de chance ! Le maire répond très positivement à cette demande, les bancs allaient de toute façon être changés dans l'année et il lui propose donc de l'offrir aux " jeunes mariés ".

Voilà donc le banc embarqué dans une folle aventure, et qui lui fait traverser une bonne partie de la France. Il a été dévoilé le jour J, comme cadeau de mariage, accompagné d'un bel écriteau sur son dossier : " Banc de notre amour, parc public de Roubaix ".

Carole et Mathieu ont été autant surpris qu'hilares en découvrant ce banc, une si jolie façon de symboliser leur amour. Nous en tout cas à la rédac', on adore l'idée !

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