NYMPHEA'S FACTORY

Paradis de fin d’été, auprès des maïs roussit par le courou du soleil. . . . Avec mes deux amours, l’une dormant contre moi, l’autre parti faire ce que le travail lui dictait malgré la clé des champs. Revint le sourire aux lèvres et ces quelques mots accrochés à sa fleur en boutonnière . . . « Jamais sur terre il n'y eut d'amoureux Plus aveugles que moi dans tous les âges, Mais faut dir' qu' je m'étais creuvé les yeux En regardant de trop près son corsage... » bonne fête ma femme. Et d’ajouter une jolie fleur pour célébrer ton prénom, des souvenirs intemporels que nous garderons bien loin du matériel. . . . Et sans un bruit j’ai attrapé la fleur et lui saisi l’appareil. Pour immortaliser en silence mais au bruit du vent, ce moment de grâce entre nous. . Une photo banale mais avec toute la poésie de notre quotidien, elle était pour nous mais elle a sa place ici dans ce journal intime qu’est notre feed loin des préoccupations qu’il prend aujourd’hui. . . Saisissez vous des choses les plus simple et rendez les incroyable a vos yeux c’est le plus beau souhait que je puisse faire pour vous. . Merci @paul_nymphea